Le tronçon Lycée Wima “Yesu Yesu 2” toujours impraticable : la population exaspérée menace de grandes actions
Le calvaire des usagers du tronçon Lycée Wima, surnommé “Yesu Yesu 2”, ne prend toujours pas fin. La dégradation avancée de cette route continue de causer d’énormes désagréments aux populations de Cam TV, Karhale et Ciriri, ainsi qu’aux étudiants de l’ISTM, de l’UCB et de l’UOB. Face à l’inaction des autorités, ces acteurs exaspérés annoncent leur intention d’organiser des actions de grande envergure pour dénoncer cette situation inacceptable.
Un quotidien rythmé par les difficultés
Chaque jour, les usagers du tronçon “Yesu Yesu 2” doivent composer avec des nids de poule, des ravines béantes et des eaux stagnantes qui rendent la circulation extrêmement périlleuse. Les véhicules s’embourbent régulièrement, les motos dérapent et les piétons peinent à se frayer un chemin. Cette situation insoutenable expose les usagers à des risques permanents d’accidents et de blessures.
Des promesses non tenues et une colère qui monte
Lassés d’attendre des promesses vaines de réhabilitation, les habitants des quartiers concernés et les étudiants des universités voisines ont décidé de passer à l’action. Ils dénoncent l’incurie des autorités qui ont failli à leur devoir de garantir la sécurité et le bien-être des citoyens.
Des actions de grande envergure pour se faire entendre
Déterminés à ne plus se contenter de paroles en l’air, les acteurs concernés annoncent leur intention d’organiser des actions de grande envergure pour faire pression sur les autorités. Ils envisagent des manifestations pacifiques, des sit-in et des campagnes de sensibilisation pour alerter l’opinion publique sur l’urgence de la situation.
“Mieux vaut prévenir que guérir”
Pour les usagers du tronçon “Yesu Yesu 2”, il est grand temps que les autorités prennent des mesures concrètes pour réhabiliter cette route avant qu’un drame ne survienne. Ils rappellent le proverbe “mieux vaut prévenir que guérir” et soulignent que la sécurité des citoyens ne doit pas être prise à la légère.
En plus des points abordés ci-dessus, il est important de souligner les impacts économiques négatifs de la dégradation de cette route. Les commerçants voient leur activité ralentie, les étudiants ont des difficultés à se rendre à leurs cours et le développement économique des quartiers concernés est freiné.
Enfin, il est important de saluer la mobilisation des acteurs concernés et leur détermination à faire entendre leur voix. Leurs actions de grande envergure pourraient contribuer à faire enfin bouger les choses et à obtenir la réhabilitation tant attendue du tronçon “Yesu Yesu 2” telle que promis par Vital Kamerhe lors de la campagne électorale passée.
- Egide Kitumaini
